Coupeur de feu au Perreux.
« Il faut le voir pour le croire »
Mais que font donc ces coupeurs de feu ? Certains font des prières, récitent une formule intérieurement ou simplement se concentrent. Le plus souvent d’inspirations religieuses, beaucoup de ces prières figurent aujourd’hui dans des livres mais il faut qu’elles soient transmises un jour par un grand-père, une tante ou même un voisin, car le don ne s’acquiert pas. Personnellement, mon arrière grand-mère possédée le don de soigner les personnes malades, j ai donc repris le relais. L’immense majorité n’accepte aucune rétribution, tout juste un petit cadeau symbolique ou je leur demande par téléphone de donner un repas à un pauvre (certains souhaitent également payer leur séance) . Ceux qui interviennent par téléphone, quelle que soit la distance, n’ont besoin que d’un prénom et de la localisation de la brûlure. Absurde pour un sceptique, et pourtant le Dr Danielle Tavernier était elle aussi incrédule jusqu’à ce qu’elle observe l’effet particulièrement spectaculaire sur les enfants qui arrivaient au service des urgences de l’hôpital de Thonon-les-Bains qu’elle dirigeait : « Sans les prévenir qu’on appelle un barreur de feu (ni les parents), ils s’arrêtent de pleurer presque instantanément. Un antalgique met quinze à vingt minutes pour agir et une seconde dose est parfois nécessaire. Avec le barreur de feu, ça prend trente secondes ! De plus, une brûlure traitée par un barreur de feu évolue nettement mieux. Il faut le voir pour le croire. »
Mais que font donc ces coupeurs de feu ? Certains font des prières, récitent une formule intérieurement ou simplement se concentrent. Le plus souvent d’inspirations religieuses, beaucoup de ces prières figurent aujourd’hui dans des livres mais il faut qu’elles soient transmises un jour par un grand-père, une tante ou même un voisin, car le don ne s’acquiert pas. Personnellement, mon arrière grand-mère possédée le don de soigner les personnes malades, j ai donc repris le relais. L’immense majorité n’accepte aucune rétribution, tout juste un petit cadeau symbolique ou je leur demande par téléphone de donner un repas à un pauvre (certains souhaitent également payer leur séance) . Ceux qui interviennent par téléphone, quelle que soit la distance, n’ont besoin que d’un prénom et de la localisation de la brûlure. Absurde pour un sceptique, et pourtant le Dr Danielle Tavernier était elle aussi incrédule jusqu’à ce qu’elle observe l’effet particulièrement spectaculaire sur les enfants qui arrivaient au service des urgences de l’hôpital de Thonon-les-Bains qu’elle dirigeait : « Sans les prévenir qu’on appelle un barreur de feu (ni les parents), ils s’arrêtent de pleurer presque instantanément. Un antalgique met quinze à vingt minutes pour agir et une seconde dose est parfois nécessaire. Avec le barreur de feu, ça prend trente secondes ! De plus, une brûlure traitée par un barreur de feu évolue nettement mieux. Il faut le voir pour le croire. »
Un soir, il devait être 23h environs et un homme m’appelle assez stressé car sa femme pleurée et venait de se bruler. Ils habitaient dans le sud de la France. Il me demande avec insistance de couper le feu de sa femme !!! je lui dis clairement : « désolé monsieur mais je ne fais pas ça » je me suis dis c’est quoi ces bêtises de coupeur de feu, c’est impossible a 1000 kms de stopper la brulure d’une personne . J’ai tout de même eu sa femme au téléphone et en moins d’une minute, elle était complétement soulagée sans aucune brûlure,elle me disait merci Lionel, je ne ressent plus rien du tout. Dans ma tête , tout a était remis en question…le don que j’avais pouvait aussi aider à soulager les brûlures de certaines personnes.
Magnétisme, énergie ou force spirituelle ?
Que l’on invoque le magnétisme ou un concept énergétique, la science est à réécrire entièrement pour rendre compte de cette efficacité constatée. La dimension psychologique ne doit pas être écartée puisqu’il a été observé que l’intervention du coupeur de feu n’avait pas d’efficacité sur un patient sceptique que l’on informe d’une telle intervention, alors que cela fonctionnait s’il n’était pas au courant ! Dans un livre récent, Coupeurs de feu et panseurs de secrets (Trajectoire), l’auteur spécialisé Jean-Luc Caradeau n’écarte pas la possibilité de « forces spirituelles ». Qu’on l’appelle Dieu, force universelle, c’est une énergie puissante où l’on puise cette force et cet amour pour soulager notre patient. Beaucoup de praticiens lient leur action à la spiritualité, mais sans détailler la source d’un effet qui est de nature énergétique. Cette énergie peut-elle être rapprochée du Chi (Qi) de la médecine chinoise, qui est un principe à la fois énergétique et spirituel ? En médecine chinoise, les brûlures sont surtout traitées avec des herbes et des crèmes. Plus exceptionnellement, un maître de Qi Gong peut projeter le Qi sur une brûlure pour apaiser la douleur et améliorer la cicatrisation, comme nos passeurs de feu. Pour leur part, s’ils ne parlent pas de projection d’énergie, ces derniers font parfois référence à un « fluide ». Mais ce fluide est le lieu d’une interaction : quelque chose sort, le feu ou le mal, et quelque chose entre, comme la lumière par exemple, apaisante. Intéressants regards croisés sur des pratiques qui se rejoignent certainement. Nous avons tous ce magnétisme en nous, a un certain degré, plus que d’autres. Il y a des personnes qui sont nés pour soulager le mal d’autrui. Pourquoi ne pas en profiter et remercier l’Univers d’amour de ce merveilleux cadeau.